Les choses enracinées dans l'amour ne sont jamais perdues,
car elles sont éternelles.
(Annelou Dupuis)
Où toutes les routes finissent commence un autre voyage.
(Christiane Singer)
La disparition d’une personne aimée s’accompagne d’un doux parfum de souvenir qui jamais ne se dissipera.
Tant que dans vos pensées je serai, aussi longtemps je vivrai.
Dire à quelqu’un je t’aime c’est lui dire tu ne mourras jamais.
(Gabriel Marcel)
Au fond, personne ne meurt.
Celui qui a paru s'arrêter brusquement continue sa route.
Écrivain de sa vie, il a seulement tourné la page.
Une longue maladie semble être placée entre la vie et la mort, afin que la mort même devienne un soulagement et à ceux qui meurent et à ceux qui restent.
(Jean de La Bruyère)
Est-ce que le soleil couchant n'est pas aussi beau que le soleil levant ?
Si naître est une façon douloureuse d'accéder à la vie, la mort ne serait-elle pas une façon douloureuse de devenir heureux ?
(Doris Lussier)
L'homme qui a le plus vécu n'est pas celui qui a compté le plus d'années, mais celui qui a le plus senti la vie.
(J.-J. Rousseau, Émilie)
L’être qui meurt est un astre couchant qui se lève plus radieux dans un autre firmament.
J’ai rejoint ceux que j’aimais et j’attends ceux que j’aime.
(Bossuet)
Le coeur retient ce que la mémoire oublie.
Tant que, dans vos pensées je serai ; aussi longtemps, je vivrai.
Les souvenirs de l’être aimé ne peuvent s’éteindre car vous les perpétuez.
Il/elle était le soleil de notre vie, le ciel bleu des jours de pluie. Nous regretterons toujours ses printemps de joie et d’amour qu’il/elle nous a procurés et qui déjà, sont du passé.
Regardez la vie que je commence et non celle que je finis.
Une vie bien remplie …un repos bien mérité.
Maintenant que je vous quitte, je vais aller faire briller des étoiles pour vous diriger sur le chemin de la vie et de l’éternel.
Il nous a tellement apporté qu’on ne pourra jamais l’oublier !
Mourir est bien peu de chose quand on continue à vivre dans le cœur des autres.
Seigneur, où étais-Tu lorsque j’ai tant pleuré ? Pourquoi ne marchais-Tu pas à mes côtés ? Et le Seigneur m’a répondu : Mon enfant, les jours où tu ne vois qu’une trace sur le sable, ce sont les jours où je t’ai porté. (Adémar de Barros)
Bien que les fleurs se fanent, meurent et disparaissent,
leurs précieux parfums demeurent toujours.
Tout comme ces fleurs éclatantes, ceux que nous aimons ne meurent jamais ; ils demeurent avec nous à jamais, empreints dans nos souvenirs précieux.
Alors que je dois quitter pour un certain temps s’il te plaît, ne te chagrine pas, continue à vivre et faire tout comme avant, ne nourris pas ta solitude de jours vides mais remplis chaque heure de façon utile, partage avec les autres, réconforte-les et moi je te réconforterai et me tiendrai près de toi ; et jamais, jamais ne sois effrayé par la mort parce que je t’attends au ciel !
Je suis debout au bord de la plage, un voilier passe dans la brise et part vers l'océan. Je le regarde jusqu'à ce qu'il disparaisse de l'horizon. Quelqu'un à mon coté dit: « Il est parti ». Parti vers où ? Parti de mon regard, c'est tout ! Et juste au moment où quelqu'un près de moi dit: « Il est parti », sur l'autre rive, d'autres le voyant poindre à l'horizon et venir vers eux, s'exclament avec joie « Le voilà ! ».
(William Blake)
À ceux que j’aime et ceux qui m’aiment... Je ne suis pas loin et la vie continue... Si vous avez besoin, appelez-moi et je viendrai. Même si vous ne pouvez me voir ou me toucher, je serai là. Et si vous écoutez votre coeur, vous éprouverez clairement la douceur de l’amour que j’apporterai.
À ceux que j’aime et ceux qui m’aiment... N’allez pas sur ma tombe pour pleurer, je ne suis pas là, je ne dors pas, je suis les mille vents qui soufflent, je suis le scintillement des cristaux de neige, je suis la lumière qui traverse les champs de blé, je suis la douce pluie d’automne, je suis l’éveil des oiseaux dans le calme du matin, je suis l’étoile qui brille dans la nuit. N’allez pas sur ma tombe pour pleurer je ne suis pas là, je ne suis pas mort.
À ceux que j’aime et ceux qui m’aiment... Quand je ne serai plus là, relâchez-moi, laissez-moi partir. J’ai tellement de choses à faire et à voir. Ne pleurez pas en pensant à moi. Soyez reconnaissants pour les belles années. Je vous ai donné mon amitié, vous pouvez seulement deviner le bonheur que vous m’avez apporté. Je vous remercie de l’amour que chacun m’avez démontré. Maintenant, il est temps de voyager seul/seule.
La mort n'est rien. Je suis seulement passé dans la pièce d'à côté. Je suis moi et vous êtes vous. Ce que nous étions les uns pour les autres, nous le sommes toujours. Parlez-moi comme vous l'avez toujours fait. La vie signifie tout ce qu'elle a toujours signifié. Le fil n'est pas coupé. Pourquoi serais-je hors de votre pensée, simplement parce que je suis hors de votre vue ? Je vous attends, je ne suis pas loin, juste de l'autre côté du chemin.
(Extrait de Charles Peguy)
Une mère, c’est si beau que même Dieu en a voulu une. (Guy Gilbert)
Par la fenêtre ouverte, je vois la neige tomber, et je me souviens des Noëls passés où tu étais présent. J'entends des rires, je vois des sourires. J'aurais voulu te dire des mots, des mots que je n'ai pu dire. Aujourd'hui tu n'es plus là, mais tellement présent. Je t'écris ces mots, ces mots que je n'ai pu te dire... Papa, je t'aime.
Dors !
Dors mon petit trésor
Tu peux être tranquille
Je suis là près de toi
Je te protège... Dors !
Et vas vers les étoiles,
Mets tes petites ailes d'argent
Et fais le tour, le tour du temps,
Le tour du monde et de l'amour.
Reste sur tes nuages,
Ne sois jamais trop sage !
Rêve que tout est possible !
Et jamais n'oublie
Que je suis toujours là
Pour la vie, pour toujours
Et pour l'amour.
Accorde-moi, Seigneur, la sérénité d’accepter ce que je ne peux changer, le courage de changer ce qui peut être changé, et la sagesse de les distinguer l’un de l’autre.
Voici la fin de mes souffrances et le repos pour mon corps ; voici venir la récompense par Dieu promise à mes efforts. Je vais là-bas parmi les Anges, en oubliant mes vieux soucis, passer mon temps à Sa louange, dire à Jésus sans fin merci.
Seigneur, vous m’avez appelé près de vous, j’ai laissé seuls ceux que j’aimais tant, prenez ma place auprès d’eux.
Il suffit d’une journée pour tout bousculer la vie. Il suffit que le lendemain soit un nouveau matin, sans trop de chagrin, car je suis au paradis.
Après avoir été la joie de sa famille, il/elle en sera l’ange gardien. Ne pleurez pas, je vais à Dieu, je vais vous attendre au ciel, la famille s’y reformera et les larmes seront séchées. Comme un lys à peine épanoui, son âme a été cueillie pour les demeures éternelles.
Ne soyez pas tristes, oubliez votre chagrin, car là où je suis maintenant, il n’y a ni larme, ni souffrance, ni maladie, ni douleur.
J’ai enfin trouvé la lumière et l’amour infini.
La douleur est moins pénible lorsqu’elle est partagée. Merci.